Actualité n'oblige pas mais incite : comment le storytelling est-il présent dans cette élection présidentielle qui ressemble de plus en plus à un vrai sketche ? A mon sens, ce n'est pas de la manière la plus évidente, celle que l'on attend en se basant sur l'expérience du passé. J'ai écrit un article sur cette imprégnation de la campagne présidentielle par un storytelling pour ainsi dire insidieux.
La politique, Ok, mais actualité oblige (cette fois !), elle commence tout doucement à nous ennuyer pour ne pas dire agacer sévèrement. Et si on en revenait aux racines du storytelling orienté (et portant) sur les clients ?
Et cet ingrédient aussi traditionnel qu'indispensable que le personnage du héros dans une histoire : qu'est-ce qu'on peut en dire (qui n'aurait pas déjà été abondamment dit) ?